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Digital et formation

Publié le 06 Jan 2016

Dans un précédent article, nous avions abordé le sujet du recrutement par le biais des MOOC. Pour rappel les MOOC - comprendre "Massive Online Open Online Courses" - désignent des plateformes d'apprentissage en ligne, apparues en France courant 2013 et qui font l'objet d'un réel engouement depuis lors.

En grande partie du à la digitalisation de la sphère professionnelle et à l'entrée des digital natives sur le marché du travail, cet engouement est dicté par la mondialisation et la nécessité de s'adapter à une évolution exponentielle en matière de process.

Une tendance qui traduit une transformation de fond des méthodes d'apprentissage et de formation, comme nous l'avions déjà pointé précédemment au sujet des formations dispensées par les digital natives à leurs collaborateurs plus âgés.

Il est naturel que l'incursion du digital ait généré de tels changements, ce qui oblige l'ensemble des secteurs à s'impliquer et pas seulement dans des problématiques de recrutement. Ainsi le e-learning a introduit un fonctionnement qui lui est propre, que ce soit dans l'apprentissage (serious games, quizz, etc) aussi bien que dans son suivi (partage d'expérience sur les réseaux sociaux ou échanges post-formation).

En ce qu'il impose un suivi, le e-learning est également créateur d'emploi, à commencer par le modérateur en charge des échanges et du community management sur les pages dédiées.

Une formation caractérisée par des échanges qui apparaissent comme primordiaux au vu de la dimension collaborative du e-learning, sans quoi cela se résumerait à s'instruire seul derrière son écran. Or, le partage d'expérience est une des clefs de ce type de formation en ce qu'il permet de mettre en pratique le savoir théorique et de le confronter à plus érudit que soi.

Tristan de Malleray,
Responsable Rédaction et Communication chez BeCoopt.
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